I. 6 : Origines, Science, Preuves et Interprétations
Considération 8 : Avons-nous évolué à partir des primates primitifs ou de l’homme primitif ?
À l’heure actuelle, un grand nombre de nos populations n’envisagent pas sérieusement les possibilités d’un patrimoine génétique non terrestre ou d’une implication des Visiteurs avec la Terre, parce que nos paradigmes scientifiques ont déplacé notre attention dans d’autres directions.
Dans un passé récent, la théorie des origines humaines promue par la communauté scientifique était celle du modèle évolutionniste des primates. Appliquant la théorie de la sélection naturelle (la survie du plus apte) de Charles Darwin au XIXe siècle à la question des origines humaines, on a cru pendant un certain temps que l’Homo sapiens représentait le produit évolutif cumulatif de l’adaptation génétique progressive des premières espèces de primates.
On a dit que notre lignée avait ses débuts identifiables en tant que primates primitifs, qu’elle avait progressé au cours de l’évolution à travers divers stades de l’homme primitif, pour arriver à sa forme supérieure actuelle chez l’Homo sapiens.
Certaines similitudes génétiques ont été détectées entre certains primates, l’homme primitif et l’Homo sapiens humain, mais un pont génétique irréfutable confirmant la progression n’a pas été établi.
Dans des analyses plus récentes, des divergences génétiques apparentes et des chaînons manquants au sein de ce modèle hypothétique de progression ont discrédité l’exactitude potentielle de la théorie de l’évolution des primates, et ce modèle des origines n’est plus considéré avec l’enthousiasme scientifique qu’il inspirait autrefois.
Conclusion 8 : Le modèle de l’évolution des primates représente simplement une théorie possible de l’origine humaine, ce n’est en aucun cas un paradigme gravé dans le marbre.
La vérité est que nos scientifiques sont encore en train de deviner, ils ne connaissent pas encore les faits sur les origines humaines et ils ne peuvent nous offrir que des hypothèses en utilisant leur corpus actuel de connaissances.
Grâce à l’analyse génétique et aux découvertes archéologiques, les sciences ont mis au jour divers éléments de preuve liés à l’évolution de la culture humaine primitive. Les faits de preuves historiques de nos origines sont simplement les suivants : nous avons certaines similitudes génétiques avec diverses espèces primitives d’hominidés et de primates, des restes d’hommes primitifs ont été trouvés pendant des périodes où l’Homo sapiens n’était pas mis en évidence sur Terre et des restes d’Homo sapiens sont mis en évidence après que des espèces d’hommes primitifs aient apparemment disparu.

Ces faits peuvent être interprétés de diverses manières, allant de la tentative de les intégrer dans le modèle évolutionniste des primates, à l’examen des possibilités que l’Homo sapiens et l’espèce humaine primitive aient été ensemencés indépendamment ici, à différentes époques, en visitant des races d’Autres Mondes. Le croisement génétique entre une race antérieure d’Homo sapiens de l’Autre Monde et des formes de primates terrestres pourrait facilement expliquer les similitudes génétiques entre certaines espèces de primates, d’hominidés primitifs et d’Homo sapiens. Nous ne sommes peut-être pas les descendants de l’homme primitif, nous pourrions très bien en être l’ancêtre.
Ce fait demeure : une réponse concrète à la question des origines humaines n’a pas encore été déterminée de manière adéquate et les preuves existantes peuvent être interprétées de diverses manières. Si nous ajoutons à l’équation une interprétation littérale d’anciens documents historiques, décrivant des contacts d’un autre monde (dont certains incluent des histoires de dieux descendant pour se croiser avec des femelles humaines), les preuves cumulées pointent plus for-tement vers l’implication des visiteurs dans notre lignée, que vers l’hypothèse que nous sommes le produit de l’évolution des primates.
Extrait Voyagers I
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